Édition originale de ce recueil de nouvelles, premier ouvrage que l’auteur signe de son nom. Cet exemplaire a été truffé d’une lettre autographe signée de l’auteur, datée du 26 avril 53 (4 pp. in-8) adressée à Charles Calemard de Lafayette, auteur reconnu à cette époque, lui demandant de l’introduire dans les milieux littéraires parisiens. À sa suite se trouve l’article lapidaire annonçant faussement la mort de Vallès, publié dans Le Stéphanois, le 2 janvier 1871. L’auteur ne décède qu’en 1885. Puis, relié en fin de volume, on trouve l’article d’Alphonse Daudet sur le Café de Madrid dans lequel il cite Vallès. On joint une lettre autographe signée « Vallez » adressée à Ulysse Rouchon (2 pp. in-8, tamponnée le 30 juillet 1913, enveloppe jointe). Vallès demande à Rouchon d’envoyer les chapitres rédigés par celui-ci pour sa biographie afin de les corriger. On joint la note du relieur et une retranscription de la lettre reliée dans le corps de l’ouvrage. Ex-libris Guy Seligmann, une note manuscrite mentionne que l’ouvrage a appartenu aux bibliothèques Ulysse Rouchon et Lucien Scheler. Vicaire, VII, 947.
Paris, Librairie Achille Faure, 1866. In-12, 328-6 pp., demi-veau à coins vert, filets dorés sur les plats, tête dorée.