Seconde édition de cette supercherie littéraire publiée par Charles Vanderbourg et attribuée par lui à une soi-disant poétesse française du XVe siècle, Clotilde de Surville, née Vallons-Chalys. En réalité, il s’agirait de l’oeuvre de Joseph Étienne de Surville, un marquis qui tentera d’émigrer lors de la Révolution française mais finira exécuté. Quérard, III, 740 f.
Paris, Imprimerie P. Didot l’aîné, An XII-1804. In-12, CI-257 pp., basane marbrée brune de l’époque, dos lisse orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre rouge, tranches mouchetées rouge.