Seconde édition de cette supercherie littéraire publiée par Charles Vanderbourg et attribuée par lui à une soi-disant poétesse française du XVe siècle, Clotilde de Surville, née Vallons-Chalys. En réalité, il s’agirait de l’oeuvre de Joseph Étienne de Surville, un marquis qui tentera d’émigrer lors de la Révolution française mais finira exécuté. Quérard, III, 740 f.
